placer le Maroc dans le top 3 MENA du classement « e-Gov » des Nations-Unies, réduire de moitié la proportion de Marocains sans accès à Internet et porter à 20% le taux de PME équipées d’une connexion.
devenir l’un des trois pays les plus performants de la zone MEA en matière d’infrastructures datacom et d’environnement d’affaires IT. Doubler le nombre de professionnels du numérique formés chaque année au Maroc, pour atteindre 30 000 formations par an, à l’horizon 2020
atteindre un taux de croissance de l’offshoring de 5 à 10 % par an, décrocher la place de premier hub numérique d’Afrique francophone et de deuxième d’Afrique.
L’entreprenariat n’est pas considéré comme une option de carrière attractive pour la plupart des étudiants marocains qui préfèrent de loin le salariat.
Les ingénieurs IT issus des formations de haut niveau sont très demandés par les entreprises « matures » et sont moins enclins à prendre le risque de créer une startup.
L’offre en accompagnement opérationnel des startups est particulièrement faible, limitée à deux incubateurs à vocation sociale et un accélérateur.
demeurent également très limitées; mis à part les concours et une offre de prêts d’honneur sujettes à une forte concurrence, seul un fond de capital risque est actif au Maroc (un nouveau fonds de capital amorçage a été lancé en janvier 2017).
et les plateformes de crowdfunding peinent aussi à se développer, notamment en raison de barrières réglementaires dissuasives et du peu d’engouement des investisseurs pour les startups.
est très peu impulsée par les grandes entreprises.
un des principaux soutiens de l’écosystème, présente une menace importante.