Ces méthodes de financement participatif se développement en particulier en Afrique de l’Est et du Sud. Elles sont parfaitement adaptées aux spécificités du continent, disposant d’une importante diaspora, dotée de moyens financiers. Le problème majeur réside dans l’accès aux moyens de paiement.
A l’inverse des pays développés, la législation des pays africains ne prévoit ni des schémas de valorisation claire des entreprises durant les premières phases de développement ni des options de sortie pour les investisseurs, limitant donc l’engouement pour ce type de placements.
À l’exception de l’Afrique du Sud, présentant un niveau de maturité proche de celui des pays développés, les fonds spécialisés dans le Capital Amorçage et dans le Capital Risque sont quasiment inexistants dans le continent.
Les incubateurs et accélérateurs, les organismes de promotion de l’entrepreneuriat peuvent apporter un premier financement de faible montant à des projets à fort potentiel.
Mais l’accès limité de ces organismes à des fonds soutenus et conséquents limite leur capacité de soutien.